dimanche 30 janvier 2011

mardi 11 janvier 2011

Souris moi.

Un ailleurs. 
Empli de grandes lignes droites qui ne se croiseraient jamais elles courrent vers un point sachant bien que celui ci ci est différent pour chacune d'elles. Ces droites ignorent qu'elles font la course contre de faux adversaires, c'est pour cela qu'elles foncent, pour gagner cette putain de course, contre elles mêmes. Elles arriveront alors en même temps, au millième de secondes près, à leur point d'arrivée. Terminus tout le monde descend, fin du voyage. 
Quand tu descends d'un train, tu vas où? 

Demandes à tous ces passagers quel est leur but après. Partir ou rentrer généralement, ce sont les deux solutions. Et ces deux solutions nous mènent à une infinité de possibilités.  Certains fuguent, d'autrent fuient car trop vieux pour fuguer, y'en a qui testent, et puis il y a ceux qui rentrent chez eux, après un long voyage, pas très enchantés du retour. Ceux là, ont ouverts les yeux sur une réalité, la réalité d'un quotidien peut être. 



Combien de fois a-t-on entendu, la phrase banale à souhait et souvent exaspérente: "Avant, je voyais les choses de cette façon , je pensais que... , et j'en étais persuadé, mais au final, après avoir vu ça, j'ai compris que ...." 
L'Homme est instable , ça va de soi, car la vie est longue. On pense. On oublie. On gomme. On regrette. On efface. On affirme. On se trompe. On réaffirme. On se leurre. 
Comment sortir alors de cette constante méprise des choses? Et qu'est ce qui est vrai ? Je crois qu'il n'y a pas de réel, mais des réels. Différentes interprétations des choses par l'expérience et le vécu. C'est ce qui créé l'intolérance ou à contrario 
La tolérance.